Lettre à Mon Tempo (5)
TEMPO, dans l'Allier
en Auvergne
Je n'arrive plus à me lever, Mon Tempo, depuis que
tu es parti. Je laisse les doubles rideaux fermés à fin qu'aucun
jour ne vienne me rappeler que tu n'es plus là. D'ailleurs je ne
sais même plus aller me coucher ! Je prie Dieu qu'aucun
imbécile ne vienne frapper à la porte, je veux rester seul avec
Toi !
Je t'ai trouvé un petit copain, il s'appelle :
Zizou. Tu sais, il a l'air coquin... Oui je sais, Tu sais ! Mais
c'est la nuit et je suis là écoutant le bruit de la rivière qui
coule sous la fenêtre, tu sais la rivière qui tu aimais entendre
lorsque je laissais la fenêtre de la cuisine ouverte et que tu
tendais ton museau pour renifler les canards qui pataugeaient
allègrement... Là, tu voulais sortir... Tu savais le bon gibier
vers lequel tu plongerais, histoire de les voir s'envoler car je ne
t'ai jamais dressé pour la chasse, loin de là, mais tu aimais l'eau
et t'amusais de les voir s'envoler dans cette liberté fabuleuse et
la magnifique beauté de leurs battements d'ailes !
Alors
nous restions assis sur la marche devant la rivière. Un jour, borné
que j'étais, je voulus que tu viennes dans l'eau. Pour te mettre en
confiance j'y allais le premier, retroussant mes jambes de pantalon.
A cette époque ta laisse avait cinq mètres de long, aussi tu
pouvais bien faire les choses à ton goût ! Et d'ailleurs tu ne
t'en privas pas, tu préféras, je ne sais quelque odeur du
sous-bois, tu partis d'un bon, moi dans la rivière je m'étalais...
Plouf le maître, plouf le gros malin... Bien sûr, te rappelant :
TEMPO, viens... TEMPO, viens, tu revenais, sentant que j'étais mal
en point... C'est clair j'avais pris mon bain de minuit des pieds
jusqu'à la tête ; Toi, tu étais assis et me regardais sortir
de l'eau, tant bien que mal... mais tu m'attendais au bout de tes
cinq mètres de cordes...
Ce soir là, nous sommes rentrés, Toi
tout pépère et moi tout mouillé !
C'est un peu la même
image que celle où Tu nageas dans l'Allier, tu sais lorsque nous
vivions en Auvergne. Un jour avec Lyne nous sommes allés
pique-niquer au bord de l'eau. J'ignorais combien tu pouvais nager
puissamment, loin et avec plein de bonheur ; c'est pourquoi
j'allais dans l'eau avec Toi sans te laisser toute liberté... Il y
avait des pêcheurs, alentours. Cette fois là encore je suis
ressortir tout mouillé et Toi tu te secouas allègrement, histoire,
d'arroser tout le monde et te fis dorer au soleil.
Plus beau et
plus bon que Toi, je n'ai jamais connu personne !
À
suivre
...
Alain Girard
le 22 09 2015
Acrostiche à ZIZOU
Z énith au grand soleil éclaté de lumière
I l
vivait en dehors des chemins forestiers
Z igoto de la vie, petit
chien, mais si fier
O ù l'on voit dans ses yeux de bien tendres
manières
U ne à une posée d'un geste familier !
avec le regard de Mon Tempo!
Alain
Girard
Le 21 09 2015
1. fanfan76 le 21-09-2015 à 22:42:38 (site)
Bonsoir Alain, merci pour mon Zizou, joli poème en hommage, avec le regard de votre cher Tempo, bien amicalement, fanfan
2. Alain Girard le 21-09-2015 à 23:53:00
oui, c'est surtout le Regard de mon Tempo qui compte car vu les yeux coquins de Zizou, je suis sûr que mon Tempo ce serait posé la tête entre ses pattes, le train arrière relevé, ce qui signifiait, chez Lui: "tu veux jouer!!!"
d'autant que Tempo était aussi un gros coquin... toujours près à faire une blague, à partager la gentillesse!
Lettre à Mon
Tempo (4)
J'ai bien reçu ta lettre, Mon Tempo ! Je
sais que c'est le vent de la nuit qui l'a glissée sous ma porte !
Je lis et je relis où tes pattes mouillées ont imprégné la
feuille comme des traces noires ineffaçables, et j'entends tout ce
que j'aime de Toi.
L'empreinte que tu laisses lorsque tu es
heureux, celle – dans l'escalier – lorsque nous revenions de
promenade et que la terre du sous-bois s'était collée sous nos
pieds ! Les gens disaient que nous salissions tout... Les gens,
Tu le savais, ne nous aimaient pas trop... A présent, comme tu le
dis, nous ne laissons plus de trace dans l'escalier. Cela te fait
rire, tu penses : « Ils n'aboieront plus contre nous ! »
C'est vrai, autant tu étais calme et savait tout discerner, autant
ces gens auraient fini par nous mordre !
Ta lettre est un
magnifique dessin où je perçois chacun des coussins de tes pattes,
surtout celles de devant ! J'ignorai que tu étais autant
gaucher que droitier bien que, lorsque je te disais : « Tempo,
donne la patte » en te tendant une main, tu donnais toujours la
patte vers la main qui t'étais tendue, une fois la gauche, une fois
la droite.
Le plus exquis de cela c'est que tu le faisais en me
regardant droit dans les yeux car Toi, Mon Tempo, tu regardais
toujours, qui que ce soit, droit dans les yeux différemment des
êtres humains qui se détournent les uns des autres, certains même
préférant regarder leurs chaussures !
Ce qui m'attriste,
vois-tu, c'est que rares furent les êtres humains qui perçurent ou
comprirent combien tu étais bon, combien s'approcher de Toi était
un bonheur ! Bien sûr il y a eu Lyne, mais qui d'autre,
dis-moi !
Mais à te lire, je comprends qu'il ne convient
pas de les nommer car ta sagesse est plus grande que la mienne !
Tu as toujours su me dire « arrêtes-toi là ! » Tu
as toujours su que mes souffrances ne m'autorisaient pas à déverser
ma verve comme un aboiement, Toi qui n'aboyait qu'en cas de danger
réel. Toi, Mon Tempo, plein de sagesse et d'amour, Toi qui –
toujours – chercha partout comment donner de l'amour !
Ta
lettre me touche profondément et – tel que tu me connais – outre
mes blessures, mes maladies et mon immense difficulté à vivre, je
t'écouterai, je t'obéirai et s'il vient un jour où ce soit Toi qui
me demande de te donner la patte, je le ferai !
J'espère que
le vent de la nuit glissera encore tes lettres sous ma
porte !
….
Le 20 09 2015
Alain
Girard
Copyright. Tous Droits Réservés.
1. fanfan76 le 21-09-2015 à 19:12:03 (site)
fanfan de nouveau, depuis hier, je ne pouvais plus accéder à votre blog, amitiés, fanfan
2. Alain Girard le 21-09-2015 à 19:41:01
pour ma part, c'est idem... impossible d'accéder à aucun blog de vefblog.net
j'espère que cela ne sera que passagé car, de mon côté, j'ignore même comment les joindre dans ce genre de cas!
Amitiés. Alain
Lettre à Mon
Tempo (3)
J'avais glissé
un coussin sous ta tête, tu étais étendu sur ton tapis, épuisé,.
J'étais agenouillé près de Toi, je te caressais doucement, je
surveillais ta respiration, je ne pensais plus, je n'existais
plus.
Lyne a téléphoné juste avant. Je lui ai expliqué, tant
bien que mal, ce qui se passait. Elle s'est mise a pleuré telles mes
larmes qui brûlaient mon visage. Je lui ai dit : « je
raccroche... Tempo expire ! »
J'ai posé ma main sur ta
poitrine pour sentir tes poumons, j'ai caressée ta tête lentement,
doucement... Tu as eu une première expiration (je te caressais)...
puis une seconde plus courte (je ne voyais que tes yeux ouverts dans
le vide).... Je te caressais, je te caressais, je te caressais...
puis une petite expiration et là... je sentis tes poumons sans
mouvement... j'ai posé ma main sur ton cœur... Il ne battait
plus... Je suis resté figé ! Je ne savais plus où j'étais !
Je refusais, je refusais... Je ne pouvais croire que Toi, Mon Tempo,
Tu venais de t'endormir pour toujours...
J'ignore combien de temps
je suis resté là à te regarder, mais j'ai eu le réflexe (sûrement
conditionné) de regarder l'heure... Je voulais savoir à quelle
heure tu avais quitté ce monde... Il était 16h30...
Mon Tempo,
si dans ma vie j'ai connu bien des douleurs, aucune ne fut aussi
terrible que de te voir mourir, rien ne m'a jamais autant fait
souffrir que tes yeux grands yeux ouverts comme si Tu regardais la
vie alors que c'est la mort qui t'emportait...
Puis j'ai rappelé
Lyne... En pleurant j'ai réussi à dire : « c'est
fini ! » …
Tu vois, Mon Tempo, même au moment de
ton départ tu nous a réunis, elle et moi, comme le jour où nous
sommes allés t'adopter quand tu avais deux mois et demi !
En
ces jours, vu qu'il fait plus froid, j'aurai étendu dans la cuisine
le grand tapis que Lyne nous a donné. Cela juste pour Toi à fin que
tu puisses t'y coucher, isolé du carrelage et – comme tu le
faisais - tu aurais choisi ton coin pour la nuit. D'ailleurs tu
savais fort bien passer de ta couche à ce tapis pendant la nuit
selon ton goût !
Le tapis est enroulé derrière ma porte
de chambre. Cette année je ne le déroulerai pas...
Mon Tempo,
il faut que tu tiennes le coup, là où tu es car c'est là et là
seulement que je veux aller !
Le 19 09 2015
Alain
Girard
Copyright. Tous Droits Réservés.
1. fanfan76 le 21-09-2015 à 19:10:22 (site)
Bonsoir Alain, il y a un mois pour Tempo et juste une semaine pour Zizou, ce que vous décrivez sur les derniers instants de votre cher Tempo, c'est exactement ce que j'ai vécu, il y a sept jours... Il est important de mettre des mots sur notre souffrance... MERCI ALAIN.
Bien amicalement, fanfan
2. Alain Girard le 21-09-2015 à 21:39:50
Vous ne pouvez savoir, chère fanfan, combien (malgré tout) vos mots me réconfortent car j'étais dans le doute d'avoir tout fait pour mon Tempo... et dpuis qu'il a expiré je ne cesse de me questionner: ai-je tout fait pour Lui?
N'était-il possible d'éviter son départ?
Toutes ces questions que je me pose depuis un mois, sans pouvoir me persuader que j'ai tout fait pour Lui...
Je ne crois toujours pas, aujourd'hui, lui avoir donné assez d'amour... Je culpabilise... Je voulais le sauver... de tout! Son vétérinaire disait de Lui: Il est brave! Ce qui, pour les Auvergnats veut dire: Courageux, Exemplaires...
Car Tempo et moi sommes Auvergnats...
Tempo nageait dans l'Allier... Tempo...
Lettre à Mon
Tempo (2)
Cela fait presque une heure que je tourne en
rond ; je suis allé te voir dans le sous-bois et depuis je ne
sais quoi faire ! Avant, lorsque nous rentrions de promenade, je
préparais tes repas pour le lendemain, toujours dans la plus grosse
casserole je faisais cuire tes pattes, ton riz, ta viande et tu étais
là à guetter si la moindre patte tombait à côté de la
casserole !!! Tu te jetais dessus comme un loup affamé...
Quelle rigolade ! Le plus drôle c'est lorsqu'une patte tombait
sous un meuble, tu te mettais à plat ventre devant, la tête glissée
sous le meuble, mais ta grosse tête ne passait pas alors tu restais
ainsi. Il fallait que ce soit moi qui aille la chercher, ça tu
l'avais compris, alors tu te reculais, tu attendais que je me mette à
plat ventre pour attraper l'objet de ta convoitise ! Si
quelqu'un nous avait vu, je crois qu'il aurait bien rigolé !
Évidemment pendant ce temps là, la casserole débordait, je me
précipitais pour enlever la casserole du feu et éponger les dégâts,
Toi, tu me regardais avec ton air coquin, sagement assis au beau
milieu de la cuisine ! Tu devais te dire : « qu'est-ce
qu'il fiche encore ? »
J'ai toujours lu dans tes yeux,
j'ai toujours – je crois – senti ce que tu attendais, ce que tu
espérais ! Mais le plus fou dans tout cela c'est que, sans la
parole, tu savais tout me faire comprendre et tu savais tout ce que
signifiaient mes gestes. Rien ne t'échappait, les pas dans
l'escalier que je n'entendais pas, c'est toi qui, venant vers moi
d'un coup de tête dans un bras, me disais : « T'as
entendu ? Ça va, C'est bon ? Pas de souci ? On bouge
pas ? » Alors je te caressais la tête et tranquillement
tu retournais sur ton tapis.
Tu avais appris, par l'odorat, à
savoir qui montait ou qui descendait l'escalier qui mène chez nous.
Bien sûr si quelqu'un frappait à la porte, là, tu aboyais et ta
grosse voix en a dissuadé plus d'un. Je te disais : « Tempo
reste ! » Tu t'asseyais au milieu de la cuisine. J'ouvrai
la porte, tout en pointant un doigt vers Toi, ainsi tu ne bougeais
plus... Par contre, à l'inverse tu savais que, même t'ayant indiqué
d'attendre, si la personne qui avait frappé n'avait pas de bonnes
intentions en vers nous tu continuais d'aboyer ainsi je savais que,
même souriante et polie cette personne avait de mauvaises
intentions !
Il y a eu ce jeune homme qui venait, à chaque
fin de mois, me demander de le dépanner d'un peu de tabac ; tu
aboyais si fort qu'il mettait ses mains sur ses oreilles. Je lui
donnais du tabac et refermais vite la porte, là tu n'aboyais plus !
Pendant un temps
il y a eu le facteur mais rapidement – pourquoi ? - Toi seul
le sais, tu acceptas son passage. Par contre lorsque c'était le
propriétaire avec un ouvrier qui venaient réparer ce qui se
dégradait chez nous, là je ne pouvais te calmer ! S'ils
passaient deux heures à bricoler dans notre chez nous, tu ne cessais
d'aboyer ; j'avais beau utiliser toutes les méthodes même le
croûton de pain que tu aimais tant, rien n'y faisait... Tu sentais
combien ces gens étaient faux, combien ils se moquaient de nous,
combien leur présence était négative ! Ainsi, d'ailleurs, tu
ne faisais que confirmer ce que j'avais compris préalablement !
Mais Toi, tu le disais de ta grosse voix sans la moindre crainte
alors que moi je me taisais espérant qu'ils partent au plus
vite !
Aujourd'hui si l'on frappe à ma porte, je ne réponds
plus, je n'ouvre pas car Tu n'es plus là pour me dire :
« Oui, c'est bon ! » ou bien « Laisses
tomber ! »
Toi et moi avons partagé de bien belles
choses ! Ton regard me manque ! Il n'est pas un jour où je
ne sente ton odeur, pas un jour où je ne vois le vide immense où –
Tous-Les-Deux – oubliés de tous, Nous sommes restés l'un à
l'autre fidèles et, l'un pour l'autre en vie !
Alain
Girard
Le 19 09 2015
Copyright. Tous Droits Réservés.
1. fanfan76 le 19-09-2015 à 21:08:00 (site)
Bonsoir Alain, une bien jolie lettre pour votre cher Tempo qui exprime votre belle complicité, recevez toute mon amitié, fanfan
2. Alain Girard le 19-09-2015 à 21:35:51
Merci, fanfan, de votre attention et de votre sensibilité à mes écrits...Amitiés. Alain
Les jours où je fus heureux, en image...
Des photos avec ma petite fille Camille dont on m'a retiré le
droit de la voir et de lui offrir l'affection de son grand-père...
Des photos avec Mon Chien TEMPO qui vient de s'éteindre
et dont je ne sais comment vivre sans lui...
Des photos avec Mon Amie Lyne qui partagea pendant dix
ans l'Affection de Tempo et me fit découvrir des choses vers
lesquelles je ne serai jamais allé sans Elle...
J'aurai pu ajouter les photos de Mes Enfants mais, sachant qu'ils
ne le souhaitent pas, j'ai respecté leur volonté!
Que reste t il de tout cela,
Dites le moi...
Charles Trenet:
https://www.youtube.com/watch?v=T_uvgm2_hRk&feature=player_detailpage
1. PatrickD le 16-09-2015 à 18:38:37 (site)
Bonsoir Alain
Très jolie musique au son de ta guitare
Je te souhaite une excellente soirée
Amicalement
2. fanfan76 le 16-09-2015 à 20:42:43 (site)
BONSOIR Gérard, comme c'est triste de vous interdire de voir votre petite fille, sachez que nous avons des droits en tant que grand- parent, moi grand maman, je n'accepterais pas qu'on m'interdise de les voir, même si on rencontre des difficultés avec la famille, je veux continuer de voir, mes quatre petits enfants... Bon courage, Gérard, j'espère et je souhaite sincèrement que vous retrouviez de beaux moments à partager avec votre petite fille, amitiés, fanfan
3. PatrickD le 17-09-2015 à 07:36:08 (site)
Bonjour Alain
Très jolie musique , au son de ta guitare
Amicalement
PatrickD
5. Alain Girard le 17-09-2015 à 15:57:37
Merci pour vos commentaires et pour la photo du jour, cela me touche beaucoup! Amitiés. Alain
6. Emma777 le 17-09-2015 à 18:56:19 (site)
Bonsoir Alain,
Vous trouverez d'autres jours heureux j'en suis certaine, peut-être seront-ils différents mais très bien aussi. Néanmoins, je comprends exactement ce que vous pouvez ressentir du faite que vous ne puissiez pas voir votre petite fille, il se passe la même chose pour mes parents, impossible d'être en contact avec leurs petites-filles, du coup je ne vois pas trop mes nièces. Je vous souhaite bon beaucoup courage et profitez de bons moments ailleurs, avec vos amis, votre entourage etc. Très bonne soirée à vous.
Emma
7. fanfan76 le 17-09-2015 à 20:08:04 (site)
Bonsoir cher Alain, je suis contente, vous avez eu la photo du jour bien méritée.
Je vous envoie toute mon amitié, fanfan
Il
fouinait de partout !
Je
viens d'écrire ce texte pour Mon Chien, TEMPO,
mais je le dédie
également à ZIZOU. Je crois que
s'ils s'étaient connus, Ils
auraient été de bons copains !
Zizou
ZIZOU
TEMPO
Il dort dans le sous-bois de pénombres mouillés1. fanfan76 le 15-09-2015 à 20:24:54 (site)
Bonsoir Alain, très touchée et émue, par ce beau poème, que vous avez l'amitié de partager avec nous et notre cher Zizou.
Sans aucun doute, il aurait été ami avec votre cher Tempo, merci Alain, amitiés, fanfan
2. Emma777 le 15-09-2015 à 22:46:15 (site)
Bonsoir,
Très joli poème, vraiment agréable à lire et bien écrit. J'espère que Zizou vous apportera aussi beaucoup de bonheur.
3. Alain Girard le 15-09-2015 à 23:42:16
Merci de votre commentaire mais Zizou comme mon Tempo, viennent de quitter ce monde.... Je partage ma propre peine avec celle de fanfan...
Amitiés
Alain Girard
4. Esuna le 16-09-2015 à 12:53:33 (site)
Bonjour,
Très beau poème. Merci pour Fanfan. Tempo était bien beau aussi, il a l'air très gentil et doux.
Bonne journée.
5. gegedu28 le 16-09-2015 à 14:27:38 (site)
Bonjour,
Très joli poème.
Je comprends la peine de perdre son fidèle compagnon, çà m'est arrivé il y a 4 ans, un spitz de Poméranie qui avait eu ses 16 ans également,
... on s'attache à eux !
Cordialement,
Gégédu28
6. pouty88 le 17-09-2015 à 06:23:12 (site)
bonjour bravo pour la photo du jour !
et oui quel beau hommage pour le petit zizou de Fanfan .
et oui c'est très dur de perdre son petit compagnon ...
beau poème pour lui .
bonne journee
pouty
du film Délivrance...
un Guitariste et un Enfant autiste
communiquent par la musique...
http://www.wat.tv/video/delivrance-duel-banjo-guitare-zcex_2ey2j_.html
Alain Girard
1. fanfan76 le 13-09-2015 à 14:26:34 (site)
Merci beaucoup Alain pour cet extrait de film que je ne connaissais pas, c'est beau le sourire de ce petit autiste, une victoire sur l'handicap, amitiés, fanfan
2. fanfan76 le 15-09-2015 à 17:38:43 (site)
Bonsoir Alain, merci aujourd'hui d'être là pour moi, merci de votre soutien, amitiés sincères, Alain, prenez bien soin de vous, vous avez raison, nous sentons leur présence, ils seront là avec nous, toujours. fanfan
3. Alain Girard le 15-09-2015 à 18:58:16
Oui, Nos Compagnons, Chien ou Chat, sont des Êtres qui, dans la vie, nous donnent avec tellement d'altruisme... sachant mieux que tout être humain:
nos peines, nos joies... que, les années passant, l'on s'aperçoit que, sans Eux, le reste est de bien moindre importance!
Bon courage. Amitiés. Alain
4. MarioMusique le 15-09-2015 à 19:55:36
Tu peux aller écouter ceci, pour le fond de l'histoire...
http://mariobpormus.eklablog.com/emprunt-dueling-banjos-a107573716
5. Alain Girard le 15-09-2015 à 20:55:07
Bonsoir Mario,
j'ai peur de mal comprendre le sens de votre commentaire! Que voulez-vous démontrer : que ce n'est pas un Enfant Autiste qui joue du banjo?
Mais avez-vous vu le film: Rain Man où Dustin Hoffman joue le rôle d'un autiste?
Diriez-vous - comme ici - qu'il s'agit d'un plagiat?
Ne comprenez-vous pas qu'il s'agit surtout de nous faire découvrir l'univers de Ces Enfants en souffrance bien que dévelopant des "aptitudes" bien supérieur aux nôtres!!! Quand on aime les Enfants on ne polémique pas, on ouvre son coeur, on les écoute et on leur tend la main:
https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=8sx8kerzkqU
si je vous ai mal compris, n'hésitez pas à me le dire...
Je persite et je signe:
Alain Girard
6. Alain Girard le 15-09-2015 à 21:02:13
à Mario:
et on leur tend la main:
https://www.youtube.com/watch?v=8sx8kerzkqU&feature=player_detailpage
7. fanfan76 le 18-09-2015 à 00:04:53 (site)
Je suis complétement d'accord avec vous, Alain, tous les films que vous citez, sont très bien faits et montrent l'univers de ces enfants autistes, aident en même temps à mieux les connaitre, à les comprendre et comme vous dites si justement à pouvoir leur ouvrir notre coeur, c'est dans ce seul but, qu'il y a grand intérêt à les regarder, sans polémique, merci à vous, Alain, je ne connaissais pas ce film "Délivrance" et je trouve très bien que vous en parliez...
Amitiés, fanfan
Joan Baez
en français
Pour Gabin
https://www.youtube.com/watch?v=8sx8kerzkqU&feature=player_detailpage
Affectueusement
Alain
1. fanfan76 le 13-09-2015 à 14:20:13 (site)
Merci Alain, très belle cette chanson que j'aime par Joan Baez, merci pour notre petit Gabin, amitiés , fanfan
De
TEMPO à LYNE
Copyright.
Tous Droits Réservés.
Commentaires